Bio
Après ses humanités, Nicolas Gaillard prend part à l’abrutissement général des masses en pigeant dans la presse people. La lobotomie ne pouvant être considérée comme une promesse d’avenir, il profite du changement de millénaire pour abandonner le côté obscur de la force.
Depuis cette époque, et pour expier ses nombreuses fautes, il suit, le jour, les préceptes de saint Educnat et le soir, ceux de saint Niepce.
Aujourd'hui, il évangélise les terres d’auvergne où il tente de sensibiliser le jeune autochtone aux joies du participe passé et du pronom personnel COD.
En plus d’une série d’articles totalement inintéressants, il a publié:
Aller retour, catalogue de l'exposition, Ligny-le-Châtel, du 1 au 31 juillet 2013.
Les Visages du son, catalogue de l'exposition, Issoire du 5 au 20 octobre 2009.
"L'Edition populaire ou les jeux de la liberté et de l'interdit", dans Fleuve Noir, 50 ans d'édition populaire (ouvrage collectif sous la dir. de J. Raabe), Ed. Bibliothèque des littératures policières, Paris, 1999.
"La mauvaise réputation. Orwell et ses détracteurs (1950-1970)", dans Philosophiqu'Art, n°3, Paris, 1999.
"De l'importance de la sentinelle en littérature. Réflexions sur George Orwell", dans Philosophiqu'Art, n°1, Paris, 1998.
Undarstellbares im dialog, en collaboration avec Thomas Bedorf et Timo Skrandies, Ed. Rodopi, coll. Philosophie & Repräsentation, Amsterdam, 1997.
La Bande dessinée : histoire, développement, signification, Ed. Contre-champ, Auxerre, 1996.
"Anastasie ou la loi des longs ciseaux", dans Rustine, n°3, Auxerre, 1996.
"La Boétie ou l'utopie minimale", dans Philosophie, philosophie, n°4, Saint-Denis, 1992.